Anton McKenzie {éducateur spécialisé}

Anton est assez grand (1m85), il est large d’épaule et sa musculature naturelle donne à sa silhouette de la puissance. Il ne prend pas la peine de faire du sport, et de développer ce physique. Même si en de rares occasions, il pratique la randonnée ou l’escalade.

Ses cheveux et sa barbe châtain ajoute à sa masculinité. Il a un regard tantôt amusé, tantôt absent, mais lorsqu’il fixe quelqu’un son pouvoir de persuasion est à son comble. Il peut aussi se montrer attentif et doux envers ceux qui ont besoin de lui. Ces yeux gris-bleu sont tout autant compréhensifs que durs lorsque le besoin s’en fait sentir.
Il porte souvent un jeans, une chemise blanche et une veste ou un blouson en cuir. Pour les occasions particulières, il enfile un costume trois-pièces taillé sur mesure.




Anton est un idéaliste. Sa carrière a commencé par des études de journalisme, et un voyage de trois ans en Afrique avec une équipe humanitaire. Il a joué un grand rôle dans cette aventure. Il était journaliste reporter, mais l'enseignement des matières de base a pris le dessus. Vers la fin de ses péripéties africaines, des bandes armées ont posé divers problèmes, et sont devenus hostiles à leur présence sur leur territoire. En tant que médiateur, Anton a désamorcé le conflit grâce à de la patience, de la persuasion et beaucoup de chance. L'équipe humanitaire a pu ainsi finir ce qu'elle avait commencé, et partir sans être inquiétée.

De retour en France, il étudie la médecine et la psychologie. Son diplôme d'éducateur spécialisé en poche, il cherche un poste dans les quartiers pauvres des banlieues parisiennes. Pourtant son inexpérience dans ce domaine nouveau lui coûte sa place.

Quelques mois plus tard, un ami lui parle de l'institut Gregor Winston au Michigan. Anton saute sur l'occasion, et se présente en tant qu'éducateur.




Anton tient son nom de son père texan. Il ne connaît rien de sa famille paternelle. Mais du côté de sa mère, la grande famille Smith appartient à la haute bourgeoisie anglaise. Il a un nombre impressionnant de cousins, et de tantes et oncles. Ils sont tellement nombreux que même Anton a du mal à retenir les prénoms de certains de ses cousins. Il est fils unique, sans être gâté pour autant. Son indépendance va dans ce sens : il se fait seul. Même si papa-maman l'aident beaucoup financièrement, il est loin de leur conception du monde.
Il parle couramment l'anglais, le français et baragouine quelques expressions africaines.